Selon une étude menée par ILIV auprès de 2.000 Belges, plus l’impact de la crise est grand, plus la solidarité augmente. Il semblerait que les personnes ressentant les effets de la crise soient plus ouvertes à l’habitat partagé.
Les effets de la crise au quotidien
L’étude menée par ILIV recense que 4 Belges sur 10 perçoivent les effets de la crise de façon quotidienne. Depuis la crise, ces personnes revoient leurs dépenses à la baisse et certaines reportent même certains achats.
Solidarité et habitat partagé
Même si cette tendance reste encore assez limitée en Belgique, l’habitat partagé prend de l’ampleur depuis la crise financière. Plus la crise se fait ressentir, plus l’attirance pour l’habitat partagé semble importante. Au jour d’aujourd’hui, 22 % des Belges sont ouverts à l’habitat partagé : un vrai changement de mentalité, donc ! Il semblerait que la crise rende les gens plus solidaires et conscients.
Crise & solidarité, les deux font la paire
« En période de crise, les gens recherchent du soutien auprès de leurs semblables : alors que les certitudes matérielles s’effondrent, l’amitié, l’authenticité, le soutien et la chaleur du foyer sont encore d’autant plus appréciés. Le chez-soi devient donc moins une question de matérialisme, et plus un lieu de relations authentiques. »
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