Ce lundi 21 janvier, c’était le “Blue Monday”, jour supposé être le plus déprimant de l’année. Et pour cause, nous sommes au beau milieu de l’hiver, période rude et affligeante pour beaucoup d’entre nous. Alors, pourquoi ne pas organiser une fête et rendre la vie plus réjouissante ? Zoom sur les habitudes du Belge…
ILIV, l’observatoire de la vie à la maison, a récemment publié une étude sur les habitudes festives des Belges. Et il semblerait que nous ne sommes pas les plus enthousiastes lorsqu’il s’agit d’organiser une fête ou un souper à la maison. Cependant, lorsque nous le faisons, nous le faisons bien !
Mieux on se sent chez-soi, plus on organise de fêtes
Il ressort de l’enquête d’ILIV que les personnes qui vivent dans des habitations plus spacieuses et plus luxueuses organisent des fêtes de façon plus régulière. Ainsi, le revenu est un facteur déterminant car organiser une fête coûte de l’argent. Aussi, il s’avère que les personnes qui se sentent bien chez elles invitent plus souvent des gens et ce, peu importe le type d’habitation.
Les formules de fête les plus populaires
1 Belge sur 3 donne maximum 2 fêtes ou dîners par an et ce, pour un maximum de 10 personnes.
Les formules festives les plus en vogue sont les barbecues (38%), les repas complets – de l’apéro au dessert – (31%) et les formules apéritives – collations et boissons – (13%). Les formules telles que les brunchs (3%), celles où chacun amène quelque chose (7%) et les walking dinners (5%) sont, quant à elles, nettement moins populaires.
Les fêtes que le Belge organise le plus souvent chez lui sont : la fête des pères, la fête des mères, les anniversaires et Pâques. Les anniversaires de mariage, communions, fêtes de printemps et baby-drinks sont généralement fêtés dans une salle ou un resto.
Organiser une fête ? Sentiments partagés
Même le Belge aime inviter des personnes chez-lui, cela lui procure généralement pas mal de stress. La raison ? Le Belge aime choyer ses convives. Mais vu qu’en Belgique, on accorde une certaine importance aux bonnes manières, à la convivialité et à la présentation de la table, pour une petite moitié des Belges, les fêtes sont sources de stress et de désordre.